Les parpaings d’or 2013 des architectes – seconde édition

Voilà, c’est reparti. Après la première édition – ex-Gérard de architecture, il y’a un an, après un changement de nom quelque peu forcé, après un brainstorming très compliqué, nous (architectes, blogueurs, journalistes, twittos…) sommes heureux et fiers et de vous présenter la seconde édition des Parpaings d’or 2013. Pour vous remémorer en quoi consiste ce prix satirique, je vous remets le petit bout de texte de l’an dernier : « le Parpaing d’or distinguera les architectes français et internationaux qui ont su, à travers leurs réalisations, contribuer au rayonnement de l’architecture en France et dans le monde entier ». Vous aurez un mois pour voter. Le résultat sera dévoilé au début du mois de janvier 2014. Faute de sponsors, il n’y aura pas, pour l’instant, de cérémonie réelle mais il n’est pas encore trop tard pour proposer un lieu, un financement, une aide (fourniture de parpaings d’or, gravures…) en envoyant un mail ici : labeilleetlarchitecte@gmail.com

En attendant bon vote et que vive l’architecture, les architectes et leur sens de l’humour.

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Pourquoi je n’adhérerai jamais à l’UNSFA.

En ce moment même aux Docks – Cité de la mode et du design (je ne cite pas le nom des architectes de cette magnifique chose verte sinon je reçois un mail de leur part me demandant de retirer leurs noms, photos, commentaires…) se tient le 44ème congrès des architectes – UNSFA. Oui, oui, le congrès des architectes… de tous les architectes enfin, ils étaient 300 maximum mais passons. Le thème du congrès est dans la subtilité du titre Architect(UR)e CAPITAL(e) dont vous pourrez admirer la qualité graphique de la brochure ci-dessous. Parenthèse avant l’exposé des faits : quand tout au long de ce congrès, les organisateurs se pressent à chaque discours de glorifier la qualité architecturale grâce au travail des architectes et donc de revendiquer (à juste titre) que la construction d’édifice soit aux mains des architectes, il serait aussi respectueux et cohérent de laisser de vrais graphistes faire leur métier. Fin de la parenthèse.

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