Ce n’est pas pour me vanter, mais le blog est de plus en plus lu. Plus de 22000 visiteurs uniques par mois, plus de 60000 pages vues, 2500 followers sur Twitter, et presque 5500 fans sur la page Facebook. Cumulé depuis la création du blog, le nombre de pages vues est proche de 1,5 millions. Le blog est repris dans de nombreux articles que ce soit dans la presse spécialisée (Le Moniteur, la Tribune de l’art, journaux étudiants…) ou dans la presse généraliste (Le Monde, Libération, l’Obs…) et les demandes d’interviews affluent de plus en plus. Par ailleurs, les architectes souhaitant faire passer un message savent que le publier sur le blog leur apportera une plus grande audience. À ce beau panégyrique, il y a évidemment une face noire : les Haters.
@AbeilleArchi
Abécédaire ironique de l’architecture 2 : le retour
L’an dernier sortait, le jour du Bal des architectes, le premier volume de l’Abécédaire ironique de l’architecture crée par la nébuleuse #teamarchi composée de la crème de la crème des twittos archi (phi_phou, Imen_C, jraoul, paul2pma, Lili_Larchi, sdetails, ValerieHoareau, fabpons, meredithda, oliviertempora, demartinisguiom, degioanni et moi-même AbeilleArchi ). Cette année, on a recommencé avec pleins de nouveaux de nouvelles définitions. On a essayé d’être drôle. Parfois, ça l’est. Parfois moins.
En espérant que cela vous fasse passer l’été et n’hésitez pas à rajouter vos propres définitions en commentaires.
La guerre des blogs (d’archi) n’aura pas lieu.
Suite de nombreux articles élogieux à mon endroit, je m’étais promis de me venger et de me faire le chef d’entreprise, le directeur de publication archicool.com, le critique d’architecture (toutes ses dénominations sont de lui sur son profil Linkedin) : Jérôme Auzolle mais, lancer la guerre des blogs (d’archis) ne servira à rien. Le blog Archicool a évidemment beaucoup plus de légitimité que le mien : il existe depuis beaucoup plus longtemps (1997), a un contenu original, un nombre de visite affolant tous les compteurs ; il offre aussi une tribune à tous ses contradicteurs, est extrêmement élégant et courtois et ne souffre d’aucune contradiction… Bref, un mélange parfait entre le gentleman un peu geek et le gendre idéal. Qui en veut ?
Revivez la cérémonie des Parpaings d’Or.
Vendredi 17 janvier 2014, 19h07 la péniche Louise-Catherine est encore bien vide. Fidèles à leurs habitudes, les nombreux architectes attendus sont en retard. Je reçois de nombreux SMS et mails me demandant où se trouve cette satanée péniche et surtout à quelle heure commence à la cérémonie. Le trac a fait place à la résignation : on ne change pas un architecte. Je tourne en rond. Viendront-ils ? Et si c’était un bide… Le doute m’habite mais à chaque arrêt de métro, quelques minutes plus tard apparaissent des groupes qui se dirigent vers la péniche. Ouf, ils sont venus, ils sont tous là, même ceux du Sud de l’Italie, y a même Giorgio le fils maudit avec des présents plein les bras… Pardon, je m’égare. Le stress sans doute. C’est l’heure, il est temps de commencer. Heureusement, c’est Michel Cantal-Dupart qui introduira la cérémonie par une présentation du lieu qui nous accueille. Heureusement encore, Philippe Tretiack m’épaulera pour présenter les lauréats. Lumière !
[EXCLUSIF] : Tous les lauréats des Parpaings d’Or – 2013
Après plus de 30000 pages vues et plus de 30000 votes, les résultats sont tombés vendredi soir lors de la cérémonie des Parpaings d’Or sur la péniche Louise Catherine de Le Corbusier. Vous retrouverez toutes les photos dans un billet très bientôt. En attendant, je vous laisse découvrir les dix-huit beaux lauréats ci-dessous. Mais avant, je voulais particulièrement remercier Eco Fabrik pour leurs parpaings disponibles ici, le collectif de barman No more Penguins, l’association de la péniche Louise Catherine et Michel Cantal-Dupart ainsi que les généreux donateurs suivants : Catherine Sabbah, Christelle Avenier, Guillaume Blanchard, Batidoc, l’agence OS architectes, Vincent Laganier, Antoine Pénin, Mathhieu Petot, Nathalie Cazaux de chez IGuzzini, l’agence Air Architecte et un merci tout particulier à Pierre-Emmanuel Harduel de l’agence F8 Architecture qui m’a beaucoup aidé pour la cérémonie.