Foch the contexte.

Philippe Muray nous rappelle dans son avant-propos à son recueil de poèmes, Minimum respect, que « Pascal écrit encore que l’on ne doit jamais traiter avec sérieux quelque chose ou quelqu’ un que l’on considère comme ridicule, car ce serait l’autoriser. » c’est dans l’esprit de ces derniers que mon ami (X.B) a cherché à l’aide de vers de mirliton  à nous parler de projet de réaménagement de l’avenue Foch porté par la municipalité parisienne. Pour le blog, l’auteur avait déjà écrit des alexandrins pour le Grand Paris en septembre 2013 et c’est donc toujours avec autant de plaisir et de liberté de ton qu’il vous livre aujourd’hui ce joli poème.

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Ta gueule.

Parfois, quand certains n’hésitent plus à franchir le Rubicon de la haine, de la provocation, de l’appel au sang et que les mots d’esprits, les explications rationnelles et les déclarations brillantes ne suffisent plus ; dans ce cas et dans ce cas seulement, se défouler simplement peut faire bien. Un mot simple suffit, comme le faisait avec tant de talent, François Morel. Alors:

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